L’impact du digitalisation sur la liaison voyant-consultant
Régulation, éthique et destinée de la voyance digitalisation L’autre point-clé de mon battue porte sur la régulation. Car si la voyance en ligne attire, elle inquiète de plus. Pour les autorités de régulation, le vague qui entourent quelques paroles commerciales peut nuire aux particuliers les plus fragiles. La DGCCRF, dans ses dernières indications, insiste sur l’obligation d’informer de façon plus claire les usagers : pas d’usage du mot “gratuit” s’il existe un prix ultérieur, pureté sur les tarifs dès l’entrée sur le site, mentions légales lisibles, et notamment leçon entre les consultations vraies et les services automatisés. C’est ici que de quelques initiatives par exemple celle d’Olivier gicqueau se façonnent. En mettant en valeur un accompagnement social, nettoyé, et avec peu de détours, cette catégorie de voyance en ligne essaie de restaurer une éthique dans un système parfois brouillé par le bricolage de majorité. Pour l’avenir, de multiples options jaillissant : camaraderie artificielle pour l’interprétation de certaines tirages, blockchain pour sécuriser les échanges, ou plateformes coopératives regroupant des professionnels certifiés. Mais au fond, cette digitalisation ne changera pas l’essence même de la demande : ce que les gens veulent, ce n’est pas un algorithme, mais une esgourde, une fiabilité, un procédé d’être évidemment. La voyance en ligne ne remplacera jamais l’intuition de l'homme, mais elle en amplifie la portée. Et on a sans suspicion là que habite sa force – et sa responsabilité.
Le destinée de la voyance passera-t-il par l’intelligence artificielle ? Une position a émergé au fil de mes communications avec les acteurs du secteur : la voyance en ligne, telle qu’elle existe aujourd’hui, pourra-t-elle subsister à l’essor des intelligences artificielles ? Certains sites commencent déjà à présenter des tirages “automatisés”, générés par des scripts ou des chatbots entraînés à répondre de façon équivoque mais touchante. Ces moyens, s’ils sont détendre ou intriguer, posent un vrai problème éthique : peuvent-ils substituer l’intuition humaine ? Ont-ils une légitimité croyante ? Pour les cartomanciennes habituels, le résultat est définitive : non. La voyance fonctionne avec un modèle d’interprétation vivante, inspiré, psychologique, qui n'a aucune chance de se raccourcir à des formes de code. Pour d’autres, les IA seraient susceptibles de devenir des outils d’aide, de support, mais pas des remplaçants. Le peine serait que l’utilisateur, déjà fragilisé, ne dissocie plus une consultation automatisée d’un exportation tangible. C’est pourquoi la précision du entendement se rend stratégique. Des sites comme celui d’Olivier gicqueau mettent en avant le lien sportif notamment jalon de différenciation : chaque réponse est rédigée en personne, aucune IA n’intervient, et l’échange reliquat confidentiel et ponctuel. Cela rassure. Et cela positionne aussi cette sorte d’offre dans une vision sérieuse durable. Car la personne, voyance olivier au fond, ne cherche pas un gadget sur internet. Il cherche une écoute, un éclairage, un référencement. La voyance en ligne, si elle reste de l'homme, peut alors servir cette filet avec pertinence. Mais si elle se laisse absorber par la intelligence automatisée, elle risque de perdre ce qui est sa de qualité chic : le pont.